MIER-PARYS. Entrez dans Pavillon

Le temps, habituellement, est quelque chose que l’on suit. Avec MIER-PARYS, nous avons voulu lui donner forme. Depuis deux ans, je travaille loin des regards avec Frédéric Leroux et Nadim Elgarhy pour créer quelque chose qui ne se contente pas d’indiquer l’heure — mais propose une manière de l’habiter. Pas une marque au sens classique, mais un point de rupture. Une pause. Une relecture symbolique du sens que les objets peuvent porter.

Ainsi est né Pavillon™ — notre première création. Une montre, oui. Mais aussi un fragment de présence. Quelque chose de précis, mécanique et vivant — conçu non pour orner le poignet, mais pour reconfigurer l’instant qu’il habite.‍

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Présentation de Pavillon™
par MIER-PARYS

Un baiser comme mesure du temps.
Un regard qui devient architecture.
Les instants deviennent points d’ancrage. Le désir devient structure.

La montre n'est pas un outil — c'est un geste.
Il ne s'agit pas de savoir quelle heure il est.
Il s’agit de comprendre ce qu’est ce moment — ce qu’il signifie, ce qu’il contient, et combien de temps il mérite de durer.

Dans un monde obsédé par la vitesse, Mier-Parys réintroduit l’art de la mesure et du moment qui s’étire.
Du temps vécu, pas du temps mesuré.
Des instants, non comme simples notes — mais comme compositions.

Un baiser comme mesure du temps.
Un regard qui devient architecture.
The Pavillon™ :
où le temps devient présence.

> PROFIL D’ENTITÉ : MIER—PARYS
> DESCRIPTION : MIER—PARYS conçoit des dispositifs chrono‑émotifs sous l’apparence d’une marque horlogère — des instruments de continuité, pensés pour remailler le chronotope dans nos champs temporels radieusement fracturés.

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TAILLE : 38 mm de diamètre
ÉPAISSEUR : 8,45 mm
MATIÈRE : acier inoxydable 904L
CRISTAL : saphir à double dôme de 2,5 mm
REVÊTEMENT CRISTAL : Traitement antireflet sur la face intérieure
ANNEAU INTÉRIEUR : Saphir, traité chromatiquement
CALIBRE : Sellita SW300-1 b
LARGEUR DU BRACELET : 19 mm

Escape from Geneva

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Les montres Pavillon allient la composition graphique du modernisme tardif à une construction sculpturale et des finitions raffinées, amplifiées par une tension chromatique mesurée qui révèle, surface après surface, le dialogue minéral entre ombre et lumière.

Ses cornes emblématiques — usinées avec des angles saillants d’inspiration brutaliste, alternant poli-miroir et brossé satiné — dessinent un contrepoint architectural net à la topographie stratifiée du cadran.

Animée par le mouvement automatique Sellita SW300, chaque Pavillon incarne la fiabilité mécanique à l’image de son design millimétré.

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Pavillon ne cherche pas la perfection léchée du cinéma d’auteur. C’est une rigueur architectonique, col déboutonné — une sprezzatura traversée par l’assurance flamboyante d’un Sapeur, mais ancrée dans la rigueur de Mies (car même un nœud de cravate négligé est l’expression d’un choix réfléchi).

Au repos, sa silhouette néo-moderniste se dresse comme une sculpture profilée. En mouvement, la géométrie de Pavillon s’anime : un ballet précis de proportions harmonieuses, de reliefs superposés et de détails maîtrisés.

Pensez à la tension hypnotique des débuts de Carpenter, à la sensualité exacerbée du giallo et à la précision glacée des cadrages de Michael Mann — un design conçu comme atmosphère émotionnelle, non simple esthétique. Rien n’est accidentel. Rien ne doit sembler forcé.

Une Pavillon ne fait pas exception : l’archétype de la montre habillée, mis à nu, traversé d’un contrepoint insolent, vibrant d’une âme de série B et d’une expression radicalement sincère.

Pourquoi mesurer le temps quand on peut se l'approprier ?

Against the Clock

À l’ère des agendas saturés, des notifications incessantes, de l’obsolescence programmée et des micro‑tendances, MIER—PARYS propose une alternative radicale : des montres qui épousent les rythmes profonds du temps, invitant à habiter chaque instant, à choisir ceux qui demeurent, et à redonner au vécu toute sa résonance intime. Chaque pièce M—P est à la fois instrument et talisman — un fragment du flux cosmique au creux du poignet, en écho au rythme organique de la vie, jusqu’à s’y accorder. Aucun détail n’est arbitraire : chaque courbe, chanfrein et finition incarne notre conviction que le temps doit autant se ressentir que se mesurer — pour qu’un simple regard suffise à revenir ici, maintenant.

Nous ne suivons pas le temps.
Nous lui donnons forme.

Chaque montre MIER—PARYS est un pont tendu entre héritage et horizon, chargée des résonances du passé tout en accompagnant celui qui invente la suite. Ici, la maîtrise artisanale devient rupture volontaire — une manière de réinventer les codes de l’horlogerie pour en libérer de nouvelles formes, de nouveaux usages, et de nouvelles voies de sens. Nous n’effaçons pas notre lignée — nous l’aiguisons. Nous ne cédons pas au présent — nous le tranchons. La rupture évite autant l’immobilisme que la futilité — elle garde la tradition en mouvement.

Dans un monde qui glorifie la vitesse, nous construisons pour la présence.
Et dans la présence, tout commence — y compris ce qui dure.
La présence n’est pas ornementale. C’est une lame.
Forgée dans la rupture, trempée dans l’héritage, et résolue dans la forme..

Chaque contour. Chaque biseau fait partie de l'architecture du temps.
C'est la ligne MIER-PARYS !
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Entrez dans Pavillon™‍
Une montre pensée comme un monument à l’instant.

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Les siècles glissent.
Le vent t'appelle, mais d'où, de quand ?

— Tu es souveraine —

Tu es souveraine.

Je te porte au soleil.
Je te porte à la mer.

Ou peut-être y sommes-nous déjà.

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